L'attentat contre le DC10 d'UTA,
vol UT772 Brazzaville – Paris
du 19 septembre 1989,
attribué à la Libye, a fait
170 victimes de 18 nationalités.

Notre collectif est constitué principalement des proches des 170 personnes disparues
dans cet attentat.
Il regroupe aujourd'hui 1.625 parents des 170 victimes (dont 98 victimes africaines).
C'est en leur nom
que nous menons nos actions.

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Membre de l'Association française des Victimes du Terrorisme

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Nous vous remercions par avance de votre participation et de votre générosité.

Assemblée Générale des Familles de l'Attentat du DC10 d'UTA

lire la suite... http://ymlp.com/zsFynE

Assemblée Générale des Familles de l'Attentat du DC10 d'UTA

lire la suite... http://ymlp.com/znPM1u

Google Sightseeing consacre un article le 15 juin 2009 au Mémorial du Ténéré.

Rendez-vous à l’adresse suivante : http://googlesightseeing.com
(Cherchez à la date du 15 juin 2009 si vous vous connectez plus tard)

télécharger le repère Google Earth (GoogleEarth_Memorial DC10.kmz)

Un livre témoignage sur l’attentat contre le DC10 d'UTA

Un livre sur l’histoire de l’attentat du DC10, de l’enquête et des négociations avec les libyens, écrit par Guillaume Denoix de Saint Marc, est paru le 18 mai 2006 :

Mon père était dans le DC10 …
19 septembre 1989 : un attentat attribué à la Libye frappe un avion français.
Histoire secrète d'une négociation.

Edité chez Privé, ce livre est disponible dans la plupart des librairies, dont la librairie en ligne www.amazon.fr

Les droits d'auteur perçus par Guillaume Denoix de Saint Marc sont reversés à l'association.

Lire un résumé (32 pages)

Plus d'info sur le blog consacré à ce livre :
http://monpereetaitdansledc10.blog.20minutes.fr/

Des nouvelles des dossiers et de l'association ... suite dans la rubrique "actions"

30 mars 2007
Le Figaro : En mémoire des victimes foudroyées du Ténéré
Les familles des victimes de l'attentat du DC10 d'UTA au-dessus du désert du Ténéré, en 1989, viennent de retourner sur les lieux du drame où elles ont décidé d'ériger un monument. Dix-sept ans après, l'émotion est intense.... suite dans la rubrique "presse"

Et aussi ...

10 octobre 2005 :
Les familles de TOUTES les 170 victimes ont été retrouvées :
The relatives of ALL of the 170 victimes have been found.
voir la "liste des victimes"

Ce DC10 de la compagnie française UTA a explosé en vol, le 19 septembre 1989, au dessus du désert du Ténéré (désert du Ténéré, 16 54'N 11 59'E, près du massif de Termit, à 13h59 TU), après son escale à N’Djamena. Il s’agit d’un attentat, le plus meurtrier jamais perpétré contre la France.

A bord, 170 personnes, de 18 nationalités différentes : 54 français, 48 ressortissants de Rép. du Congo, 25 tchadiens, 9 italiens, 8 nord-américains, 5 camerounais, 4 anglais, 3 ressortissants de Rép. Dém. du Congo, 3 canadiens, 2 centre-africains, 2 maliens, 2 suisses, 1 algérien, 1 belge, 1 grec, 1 marocain, 1 sénégalais...
(voir la liste des victimes)

Suite à l’enquête du juge Jean-Louis Bruguière, 6 hauts responsables des services secrets et de la diplomatie libyenne ont été condamnés par contumace à la prison à perpétuité par la Cour d’Assises spéciale de Paris, en 1999 :
• Abdallah Senoussi, beau-frère de Kadhafi, ex-numéro deux des services secrets.
Organisateur de stages de manipulation d’explosifs, il a fourni l’engin explosif de l’attentat, donné les instructions et contrôlé les opérations.

• Abdallah Elazragh, premier conseiller à l’ambassade de Libye à Brazzaville.
A remis à Mangatany, porteur de la bombe, un billet d’avion pour le vol UTA et la valise piégée.

• Ibrahim Naeli et Arbas Musbah, membres des services secrets libyens, spécialistes en explosifs et en problèmes aériens. Ils ont vérifié l’engin explosif avant de le remettre à Elazragh.

• Issa Shibani, membre des services secrets libyens. Il a acheté le minuteur retrouvé dans les débris.

• Abdelsalam Hammouda, collaborateur de Senoussi et membre des services secrets libyens. Il a assuré un relais stratégique entre ce dernier et Elazragh, Naeli et Musbah.

Un mandat d’arrêt international a été délivré contre eux mais ils sont toujours en liberté.

Guillaume DENOIX de SAINT MARC, qui a perdu son père Jean-Henri DENOIX de SAINT MARC,
Liliane, Marie-Lise et Danièle KLEIN, Françoise TENENBAUM, qui ont perdu leur fils et frère Jean-Pierre KLEIN,
Elvire et Robert BRAZZA, qui ont perdu leur frère Gérard BRAZZA,
Brigitte MORET, qui a perdu sa sœur Nicole DEBLICKER,
Caroline BRICOUT, qui a perdu son mari Alain BRICOUT,
Alfonsine MAFOUTA, qui a perdu son fils Lié Médard IKOUNGA ,
Romain RENAUDAT, qui a perdu son père Jacques RENAUDAT,
MANA Toukour, qui a perdu sa femme, KOULAMALLAH MANA Iza, ses enfants MANA Ibrahim, MANA Abdel Hamid, MANA Asta Kellou, MANA Hamman Toukour et sa cousine ADAMA Maïndar,
Pierre François IKIAS, qui a perdu son frère Fleury le Prince ICKIAS,
Jésus Providence Ho-Mi-Nu NIAZAIRE, qui a perdu sa sœur Lydie Blanche Colombe NIAZAIRE,
Charles NORRIE, qui a perdu son frère Tony NORRIE,
Pascal BRUET, qui a perdu son père Jacky BRUET,
Olga NEHOUL, qui a perdu sa mère Louba Madeleine YEPASSIS MOUGNAN, sa soeur Mirelle NEHOUL MOUGNAN et sa demi-soeur Zena YEPASSIS,
Félix YEPASSIS-ZEMBROU, qui a perdu son épouse Madeleine YEPASSIS-MOUGNAN et sa fille Zena YEPASSIS

… et tout ceux que nous représentons !

"Les familles du DC10 UTA en colère !"
est né en février 2002 de la volonté d'exprimer directement et sans intermédiaire le sentiment d'injustice et de colère des familles des victimes du DC 10 UTA face à la normalisation des relations franco-libyennes.

Depuis, de nombreuses démarches d'information auprès des familles, des autorités françaises, de personnalités libyennes et des médias et ont été effectuées et se poursuivent avec l'objectif de parvenir à une solution négociée permettant de garantir dans la dignité la reconnaissance de la Libye de la souffrance des familles.

Cet objectif est atteint le 9 janvier 2004.
Merci à tout ceux qui y ont contribué !

Nos principaux résultats :

Avoir réussi à sensibiliser les médias et les pouvoirs publics sur notre douleur toujours vive et sur nos attentes.
Avoir encouragé de nombreux parents de victimes à s'exprimer et à se faire entendre directement, participant ainsi à leur travail de deuil.
Avoir obtenu l'engagement de la Libye de prendre en compte le préjudice moral des ayants-droit qui ne s'étaient pas portés partie civile au procès de 1999.

Avoir obtenu le 9 janvier 2004 une indemnité supplémentaire de 170 millions de US $, soit 1 million de $ pour la famille de chaque victime.