victimes attentat

(Mardi 21 octobre 2003)

Négociations entre les familles des victimes de l'attentat d'UTA et la Fondation Kadhafi


Réponses de la porte-parole adjointe aux questions du point de presse
(Paris, le 21 octobre 2003)


Avez-vous quelque chose à dire sur ce qui a été dit hier à Genève par le fils de M. Kaddafi qui disait notamment, sur le sujet de UTA, que la France utilise un langage de ' nana ' qu'il n'y a pas de base légale pour les demandes de la France, qu'il y a ce document confidentiel etc. ?

Non, je n'ai rien à ajouter à ce qu'indiquait le porte parole vendredi dernier. Je rappelle que les négociations ont lieu entre les représentants des familles des victimes et la Fondation Kaddafi et que nous souhaitons que ces négociations reprennent aussi rapidement que possible.

Il n'y a aucune indication que les négociations vont être reprises bientôt ? Les négociations sont interrompues pour l'instant ?

Elles sont suspendues. Je pense que vous pourriez vous adresser aux familles. Car, je le rappelle, c'est entre les représentants des familles et la Fondation, que se tiennent ces négociations.


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